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Adam Sōmu Wojciński

Adam Sōmu Wojciński est un maître de thé novateur, un chercheur infatigable et un artiste visionnaire. À travers le prisme de la Voie du Thé, il crée une œuvre influente, fusionnant harmonieusement trois disciplines : la maîtrise du thé, l’exploration savante et l’expression artistique.

En tant que protégé (jikideshi) du 16ème Grand Maître de l’école Ueda Sōko Ryū, Adam a établi le premier « shachū » mondial, une branche officielle de pratiquants du thé connectés via des plateformes en ligne. Son groupe d’étudiants s’étend à travers l’Europe, l’Océanie, les Amériques et l’Asie.

Le rôle d’Adam dans la formation de l’avenir du chanoyu (cérémonie japonaise du thé) est alimenté par des recherches sur les fondations historiques de cet art. En traduisant des manuscrits pivots en anglais, il incarne l’idée que l’authenticité découle de la compréhension de son passé.

En 2022, Adam a été nommé au conseil de l’Akatsuki (暁) Junior Council de l’Ueda Sōko Ryū, en reconnaissance de son dévouement et de son expertise. En 2021, Adam a publié « Pearl Among the Clouds », la traduction anglaise de 日々ごゆだんなきよう (titre japonais), écrit par Ueda Sōkō, le 16ème Grand Maître de l’Ueda Sōkō Ryū.

Actuellement, Adam prépare la publication de « Learning the Way of Tea with Furuta Oribe », la traduction anglaise de 『茶道長問織答抄』を読む (titre japonais), en collaboration avec Kumakura Isao et Ueda Sōkei.

L’exploration artistique d’Adam de la pratique du thé transcende la tradition, embrassant un cadre d’art contemporain. En défiant les pratiques normatives de la cérémonie du thé, il libère cette forme d’art des confins culturels, met en lumière ses dimensions prosaïques et politiques, et ouvre le chanoyu à un public plus large.

Son approche expérimentale rend hommage aux origines multiculturelles de la cérémonie du thé. En tant que polyglotte et praticien du thé polyculturel, Adam prône des principes du thé universellement pertinents (不易流行 fueki ryūkō), mettant l’accent sur l’harmonie comme fondement, la nature comme sujet, la pratique/réalisation comme œuvre, la pureté comme esprit, l’absence de frontières comme dimension éthique, et l’expression esthétique comme langage du thé.

À une époque caractérisée par l’érosion de la vérité et le renforcement des divisions sociétales, le travail d’Adam sert de rappel poignant de l’importance profonde de partager un bol de thé — un acte transformateur qui illumine les liens compatissants entre les personnes.

© Université de San Francisco

Aarbenz

https://aarbenz.com/

AArbenZ est une aventure créative, une quête de sens, initiée durant mon adolescence dans un monde qui me paraissait en être dépourvu. A la recherche des héritiers de la Beat Generation de New York à San Francisco, j’y ai découvert de nouveaux récits, en marge de notre société. J’y ai également découvert des techniques littéraires dites automatiques et spontanées inspirées du Jazz. Mais c’est lors d’un long périple en solitaire autour de l’Australie, il y a 10 ans, que j’ai pu Encré en moi ces techniques et cette manière de voir le monde.
J’ai été confronté aux grands espaces, aux vides intérieurs que seule la nature dans sa forme la plus pure permet, déconnecté de toute modernité.
Cette rencontre avec moi-même, mais aussi avec les Aborigènes d’Australie, m’ont permis de comprendre le sens premier de l’Art, de nouer des liens avec ce qui nous dépasse, d’assembler tout ce que la Nature nous offre afin de créer des récits, à l’écoute des sens, à l’écoute de Soi. L’Art de transformer un entre-deux mondes en un espace ludique rempli de sens.
C’est donc avec quelques stylos et un peu de papier acheté dans un magasin au fin fond de la brousse Australienne que j’ai initié mon processus artistique et que je perpétue depuis.

Olivier Schneider

Olivier Schneider étudie le thé depuis une quinzaine d’année, et en particulier la famille des puerh et des thés du triangle d’or dont il est spécialiste. Il a vécu plus de 10 ans dans le Yunnan, au coeur des montagnes à thé de Lincang, puis du Xishuangbanna. Il vit désormais dans les montagne de Thailande, où il a construit un petit atelier où il façonne lui même des thés à partir des vieux arbres de son village. Olivier Schneider à écrit de nombreux articles sur le thé, réalisé un documentaire vidéo, et se consacre aujourd’hui à la rédaction d’un livre pour achever ces 15 ans de recherches. Il enseigne aussi la culture du thé et l’art de son infusion à travers différents stages, et travail comme consultant et sourceur de thé pour un certain nombre de maisons de thé indépendantes.

Corinne Atlan

Diplômée de japonais de l’Inalco, Corinne Atlan a vécu près de trente ans au Japon et au Népal, où elle a enseigné le français. Traductrice de la première heure de Haruki Murakami, ce qui lui vaudra en 2003 le prix de traduction de la Fondation Konishi, elle s’est attachée à faire connaître de grands auteurs contemporains – Hitonari Tsuji, Ryû Murakami, Keiichirô Hirano – et des écrivaines majeures – Fumiko Hayashi, Minako Oba, Sawako Ariyoshi -, traduisant ainsi une cinquantaine de romans.

Elle se passionne également pour le théâtre, et plusieurs de ses nombreuses traductions seront montées en français (Le Grenier de Yôji Sakate au Théâtre du Rond-point, Sommeil de H. Murakami au Théâtre de l’Œuvre).

En poésie, elle a édité avec Zéno Bianu plusieurs anthologies de haïku pour les éditions Gallimard (Haiku, 2002, Haiku du XXe siècle, 2007) et traduit Madoka Mayuzumi (Haiku du temps présent, Picquier, 2012) ainsi que Ryôichi Wagô (Jets de Poèmes, dans le vif de Fukushima, Erès, 2016, prix poésie étrangère NUNC). Elle collabore aussi avec Folio sagesses, éditant et préfaçant des morceaux choisis de classiques japonais (Choses-qui-rendent-heureux et autres notes de chevet, 2021).

Lauréate de la Villa Kujoyama de Kyoto en 2003, elle y rédige un premier roman, situé au Japon et dans l’Himalaya, Le monastère de l’aube (Albin Michel, 2006), qui sera suivi par Le cavalier au miroir (L’Asiathèque, 2014). On lui doit également plusieurs récits et essais, dont Un automne à Kyôto (Albin Michel, 2018), Petit éloge des brumes (Gallimard, coll. Folio, 2019) Le pont flottant des rêves (La Contre Allée, 2022, prix de l’Asie de L’Adelf), et le récent Haïkus de Kyoto, Arléa, 2025, qui mêle écriture personnelle et traduction.

Bibliographie

Ouvrages personnels

Haïkus de Kyoto, sous les fleurs d’un monde flottant, Arléa, 2025

Le pont flottant des rêves, La Contre Allée, 2022

Un automne à Kyôto, Albin Michel, 2018

Japon, l’empire de l’harmonie, Nevicata, coll. L’âme des peuples, 2016

Traductions

Le sommet des dieux, Yume Bakumakura (Paulsen, 2024)

Le roman de la Cité Interdite, Jirô Asada, (Picquier poche, 2022)

Une affaire de famille, Hirokazu Kore-eda (J-C Lattès, 2018)

Compléter les blancs, Keiichirô Hirano (Actes sud, 2017)

Nuages Flottants, Fumiko Hayashi (Picquier 2012)

Kafka sur le rivage, Haruki Murakami (Belfond, 2006)

Le Bouddha blanc, Hitonari Tsuji (Mercure de France, prix Femina

étranger1999)

Paroi de glace, Yasushi Inoue (Stock, 1998)

Les bébés de la consigne automatique, Ryû Murakami (Picquier, 1996)

La fin des temps, Haruki Murakami (Seuil, 1992)

L’intendant Sanshô, Ogai Mori (Picquier 1990, Picquier poche 2022)

Simon Manoha

Simon Manoha est né Ardèche, en 1987. Simon passe des journées à chercher des argiles dans la nature. Il les collectionne, les expérimente dans ses oeuvres et dans le feu. Il installe son atelier en Ardèche, construit son four à bois autour de sources d’argiles et d’innombrables minéraux utilisés pour ses émaux.

Toutes ses pièces sont fabriquées en kurinuki, parfois appelé tama-zukuri. C’est une technique traditionnelle japonaise, utilisée notamment par les potiers de raku. Mais également usitée en sculpture sur argile depuis toujours par les artistes. Il s’agit de travailler une masse pleine que l’on vient évider par la suite en plusieurs passages, au gré du séchage de la pièce.

Simon Manoha cuit au bois et à l’électrique. Toujours en deux cuissons, un biscuit et une cuisson d’émail à 1280°c. Son four à bois est un phoenix, il cuit généralement avec des essences locales, bois mort qu’il ramasse dans les environs : châtaignier et résineux : pin, épicéa majoritairement et aulne, chêne, acacia, frêne, et hêtre parfois. Les cuissons durent 48h en général. Il aime autant travailler en oxydation qu’en réduction, en cuisson bois y compris.

Vous pouvez suivre Simon sur Instagram : @simon_manoha

Atelier de Kintsugi

Durée : 2 jours / 2 heures par jour

Technique : Nous utilisons la méthode de Kintsugi dite simplifiée, accessible aux débutants. Les réparations seront réalisées avec des finitions en laiton (couleur dorée) ou en étain (couleur argentée).

À apporter :

  • 2 à 3 objets en céramique (bols, assiettes, tasses…) présentant des fissures ou cassures simples.

  • Éviter les objets trop fragmentés, qui pourraient ne pas être réparables dans le temps imparti.

  • Chaque objet devra être préalablement reconstitué à l’aide de ruban adhésif (scotch ou masking tape).

  • Une boîte rigide (carton ou plastique) pour transporter et conserver les objets réparés en toute sécurité.

  • Un tablier et des vêtements couvrants à manches longues sont conseillés pour éviter les taches de laque et prévenir d’éventuelles réactions cutanées.

Matériel fourni :

Tous les outils et matériaux nécessaires à la pratique sont fournis, ainsi que des gants de protection.

À l’issue du cours, chaque participant repartira avec ses objets réparés et une première expérience qui vous permettra de continuer la pratique chez vous pour des réparations simples. Si vous le souhaitez, vous pourriez acquérir un kit de kintsugi auprès d’Akitsu.

Masahiko Ueji

Masahiko Ueji est un compositeur-musicien polyvalent japonais formé au piano classique dès l’âge de 5 ans. Il développe rapidement ses compétences en tant que pianiste, claviériste et clarinettiste basse. Après avoir évolué dans les scènes rock et jazz tokyoïtes, il quitte le Japon pour s’installer à Berlin, où il explore les territoires de la musique expérimentale et underground.

Aujourd’hui établi à Marseille, Masahiko Ueji poursuit une carrière éclectique de compositeur et d’interprète. Il signe des compositions pour divers médiums – publicité, théâtre, danse contemporaine – tout en collaborant avec des artistes locaux et internationaux dans des projets mêlant musique électronique, drone et noise. Son style unique fusionne la rigueur technique du classique, l’énergie du rock-jazz et les recherches sonores contemporaines.

Au-delà de la musique, Masahiko cultive également une passion pour la cuisine, qui constitue sa seconde activité professionnelle. En tant que cuisinier indépendant basé à Marseille, il propose une cuisine japonaise authentique et savoureuse pour diverses occasions et événements.

Vous pouvez suivre Masahiko sur Instagram : @masahiko_ueji  @masa_marseille

Akitsu Orii

 

Akitsu Orii est une artiste japonaise originaire de Nara qui mène un parcours singulier entre traditions ancestrales et expression contemporaine. Installée en France depuis 2001, elle exerce d’abord pendant vingt ans comme flûtiste baroque, se produisant en Europe et au Japon.

Depuis 2008, elle se tourne vers les arts traditionnels japonais, notamment le Kôdô et le kintsugi, tout en développant une expression personnelle et contemporaine de la céramique. En 2016, elle est choisie pour s’initier auprès du Grand Maître de l’école Shino à Nagoya dans l’art du Kôdô, cette voie raffinée d’appréciation des parfums qui constitue l’une des trois disciplines artistiques majeures du Japon.

Installée à Marseille depuis 2022, Akitsu Orii continue sa pratique de la céramique et du kôdô, et transmet l’art du kintsugi à travers des stages et formations.

Suvre Akitsu sur Instagram : @akitsuorii

Léo Dugué-Perrin

 

Je suis né dans une famille d’architectes où rien ne me prédestinait à me dévouer au thé.
Il y a quelques jours, je me suis posé comme bien souvent la question de pourquoi ma vie tournait autour de l’appréciation de feuilles mortes. Cette fois-ci, à la différence des précédentes une réponse évidente m’est apparue.

Petit, mes principaux amusements se résumaient à écouter les contes de ma Bretagne adorée, à imaginer des reliques aux pouvoirs magnifiques. Dans les jeux de rôles auxquels nous jouions, Donjons et Dragons pour n’en citer qu’un seul, nous incarnions des magiciens, nous nous battions avec des monstres imaginés. A cet âge, pour nous le moindre bâton devenait un sceptre, une épée ou un arc. Je courais dans les forêts des villages à la recherche d’esprits et fabriquais des potions avec ce que je trouvais.
Petit démiurge insouciant, je vivais dans un conte permanent et faisais de ma vie une mythologie.

A l’adolescence, dans les écoles, par honte il me fallait réprimer ces univers et me fondre dans la masse, mais, le soir, une fois rentré chez moi tout reprenait vie en secret. Cependant, je prenais conscience que cette fantasmagorie n’était pas palpable, tout cela n’était que pensée, création d’un imaginaire. Je souffrais de cette illusion dans laquelle je trouvais mon bonheur et je voyais arriver à moi la réalité d’une vie d’adulte que je fuyais depuis toujours.

Alors que faire ? Laisser derrière moi le romantisme de mon imaginaire et accepter la vérité sauvage d’une société à l’opposé de mon palais mental ?
Parallèlement à ce duel intérieur, j’ai découvert le thé, le vrai, celui que je bois toujours aujourd’hui.
Le thé m’a offert la fuite à ce combat qui me tiraillait. Il a donné de la matière à cet imaginaire tout en me permettant d’en faire mon métier.

Lise Camoin

Lise Camoin vit et travaille dans le Luberon.  Elle enseigne la teinture végétale depuis une quinzaine d’années pour la SCOP Couleur Garance tout en poursuivant des recherches en design textile.

Ses projets sont influencés par ses origines provençales et méditerranéennes, mais aussi par plusieurs formations au Japon.  Elle consacre une partie de son travail à développer un textile à impact réduit sur l’environnement, dans lequel s’exprime la ligne comme vecteur graphique.  D’abord en colorant des liens de laine, appliqués sur de la toile et depuis quelques années avec la canne de Provence, matière première disponible en quantité dans son jardin, dont elle immobilise le mouvement naturel des feuilles composant des textiles à l’esprit de vanneries-tissage.

Suivez Lise sur Instagram : @lise_camoin

Réservation

    Liam

    Vendeur de thé depuis une dizaine d’années, mais avant tout grand passionné, c’est au détour de rencontres et en écumant de nombreuses maisons de thé que Liam Rozier voit son intérêt pour le thé chinois s’accroître.
    Il a désormais à cœur de transmettre cet amour du produit, dans le plaisir et le partage.

    Olivier Schneider

    Olivier Schneider étudie le thé depuis une quinzaine d’année, et en particulier la famille des puerh et des thés du triangle d’or dont il est spécialiste. Il a vécu plus de 10 ans dans le Yunnan, au coeur des montagnes à thé de Lincang, puis du Xishuangbanna. Il vit désormais dans les montagne de Thailande, où il a construit un petit atelier où il façonne lui même des thés à partir des vieux arbres de son village. Olivier Schneider à écrit de nombreux articles sur le thé, réalisé un documentaire vidéo, et se consacre aujourd’hui à la rédaction d’un livre pour achever ces 15 ans de recherches. Il enseigne aussi la culture du thé et l’art de son infusion à travers différents stages, et travail comme consultant et sourceur de thé pour un certain nombre de maisons de thé indépendantes.

    Psychéthélique

    Écouter la feuille de thé

    Olivier Schneider

    Les feuilles de thé doivent être transformées par une succession de gestes afin de pouvoir être appréciées. Depuis la découverte du thé il y a plus de 3000 ans, une multitude de pratiques et de cultures se sont dessinées à travers le monde, autour de différentes manières de transformer les feuilles de thé. C’est cette diversité d’approches, de pratiques et de croisements qui rend la culture du thé vivante et laisse la porte ouverte à de futures évolutions.

    Olivier Schneider nous propose aujourd’hui de repenser de manière créative et innovante la préparation du thé. Il vous proposera de déguster un thé rare, spécifiquement conçu pour l’occasion à partir des feuilles fraîches qu’il a cueillies sur l’arbre à leur « infusion ». Ce thé atypique s’inspirera notamment de la singularité du climat de cette année, aussi bien en Thaïlande où elles sont nées que dans le sud de la France où elles seront « finies ». Mais elles sont aussi le fruit d’une multitude d’apports venant aussi bien des ethnies du Triangle d’Or que de territoires aussi éloignés que le Japon, afin de faire émerger une nouvelle forme de thé: des sensations, des goûts et des arômes que nous n’avons encore jamais eu l’occasion d’apprécier !

    Cocktail révolthé

    Chinlin Hsieh

    La dynastie Tang (618-907) fut une période de grande effervescence culturelle en Chine, et le thé devint à partir de cette époque une boisson populaire.  Grâce à Lu Yu (733-804) et son ouvrage canonique, Le Classique du Thé, nous connaissons de façon précise les différentes manières de préparer le thé à l’époque.

    Parmi les six modes de préparation, Lu Yu prônait l’infusion à l’eau bouillante, dénigrant catégoriquement les autres méthodes.  Le dieu du thé avait des opinions bien tranchées !  Ainsi, infuser le thé à froid relevait de l’hérésie ; mélanger le thé avec d’autres végétaux et fruits produisait des « rinçures bonnes à jeter dans les égouts ! »

    Depuis le IXe siècle, les eaux ont coulé sous les ponts…  Nombreuses traditions de thé de nos jours pratiquent l’infusion à froid, voire glacée, et nombre de thés sont même meilleurs préparés ainsi.

    Nous nous donnerons comme objectif, lors de cette soirée, de concocter non seulement une boisson à base de thé infusé à froid, mais aussi d’y intégrer des ingrédients associés fréquemment au thé à l’époque de Lu Yu.  Et, soirée festive oblige, nous y incorporant quelques goutes d’alcool.

    Un pied de nez au dieu du thé ?  Point s’en faut !  Nous trinquerons en son honneur.

    Réservation

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